Titre : | Car l'adieu, c'est la nuit | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Emily Dickinson (1830-1886), Auteur; Claire Malroux, Editeur (scientifique) | Mention d'édition : | Edition bilingue | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | impr. 2011 | Collection : | Poésie num. 435 | Importance : | 1 vol. (433p) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-034759-9 | Prix : | 9,80 EUR | Langues : | Français (fre) Langues originales : Américain (ame) | Catégories : | LITTERATURE:Poésie
| Index. décimale : | 811.3 | Résumé : | «Celle qui a tant écrit sur l'adieu a dit adieu au monde il y a cent vingt ans, léguant à d'hypothétiques lecteurs, tandis qu'une mouche venue de ses propres poèmes cognait contre la vitre de sa chambre, "la part d'elle transmissible" : une longue lettre sans signature, composée de centaines de feuillets déposés dans un coffret au fond d'un tiroir de commode. Un tendre et solennel héritage à partager. Une énigme à résoudre par les générations à venir.
Ce mode de transmission suffit à lui seul à distinguer Emily Dickinson des autres poètes, et même d'un Pessoa qui a laissé la plus grande partie de ses œuvres à la postérité dans des circonstances un peu analogues. Le poète portugais jouissait de son vivant d'une certaine notoriété. Emily Dickinson, tout entière réfugiée dans ses écrits, n'en avait pour ainsi dire aucune. Elle livrait avec une rare confiance ce qu'elle avait de plus cher aux mains "aveugles" des générations futures.»
Claire Malroux. | Note de contenu : | Texte anglais et trad. française en regard.
Bibliogr. p. 379-383 |
Car l'adieu, c'est la nuit [texte imprimé] / Emily Dickinson (1830-1886), Auteur; Claire Malroux, Editeur (scientifique) . - Edition bilingue . - Gallimard, impr. 2011 . - 1 vol. (433p) : couv. ill. en coul. ; 18cm. - ( Poésie; 435) . ISBN : 978-2-07-034759-9 : 9,80 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame) Catégories : | LITTERATURE:Poésie
| Index. décimale : | 811.3 | Résumé : | «Celle qui a tant écrit sur l'adieu a dit adieu au monde il y a cent vingt ans, léguant à d'hypothétiques lecteurs, tandis qu'une mouche venue de ses propres poèmes cognait contre la vitre de sa chambre, "la part d'elle transmissible" : une longue lettre sans signature, composée de centaines de feuillets déposés dans un coffret au fond d'un tiroir de commode. Un tendre et solennel héritage à partager. Une énigme à résoudre par les générations à venir.
Ce mode de transmission suffit à lui seul à distinguer Emily Dickinson des autres poètes, et même d'un Pessoa qui a laissé la plus grande partie de ses œuvres à la postérité dans des circonstances un peu analogues. Le poète portugais jouissait de son vivant d'une certaine notoriété. Emily Dickinson, tout entière réfugiée dans ses écrits, n'en avait pour ainsi dire aucune. Elle livrait avec une rare confiance ce qu'elle avait de plus cher aux mains "aveugles" des générations futures.»
Claire Malroux. | Note de contenu : | Texte anglais et trad. française en regard.
Bibliogr. p. 379-383 |
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